les 28 et 29 janvier
à Lion sur mer
2° édition des rencontres du libre
Pour ceux qui veulent faire un petit break ce week end dans la lecture du livre de laurent Bouvet (en live à Lion sur mer le 22 février), je recommande ce roman qui ne se boude pas : Insurrection, de Pierre Maraval.
Entre le thriller et le roman d’actualité, très bien documenté. Je l’ai lu d’une traite, sans bouder mon plaisir.
[youtube 0XVzK21zmQc]
celui qui a tout appris des NTIC aux anciens de la Compagnie Bancaire
sera aux 2° rencontres du libre de Lion sur mer
en visiophonie
le samedi 28 janvier à 17 h 30
salle Trianon, place du 18 juin 1940
[vimeo 11026720]
Laurent Wauquiez, icone de la “droite sociale” qui regroupe lui-même et quelques copains, et maire du Puy-en-Velay, préconise le travail obligatoire et gratuit pour les bénéficiaires de revenus sociaux.
Que cette idée, socialement contestable, soit une idiotie sans nom d’un point de vue économique ( parce qu’elle génère forcément, par effet d’aubaine, de la destruction d’emploi salarié) est une autre histoire.
Ce projet de travail obligatoire qui figurait dans le programme du parti Jobbik (extrème droite) a été repris par la droite nationaliste. Pire encore: le plan présenté par le gouvernement prévoit la construction de centres de logements collectifs, pouvant être dans certains cas des containers aménagés pour les personnes dont le lieu de résidence serait trop éloigné des chantiers.
Et pour surveiller ces camps, Viktor Orban, le premier ministre hongrois, a eu une très bonne idée : des policiers fraîchement partis à la retraite pourraient assurer la sécurité…”,
Ce à quoi le ministre de l’Intérieur Sándor Pintér répond, pragmatique: “Ils ont les compétences nécessaires pour remettre au travail quelque 300 000 personnes”.
Pauv’ Wauquiez ! Nul n’est prophète en son pays.
“Heureusement”, l’usine Lejaby d’Yssingeaux (43200) ferme ses portes et l’ensemble des salariées licenciées se retrouve au chômage.
D’où la possibilité prochaine pour Wauquiez, à défaut de localiser les emplois, de relocaliser sur ses bonnes terres, les camps de travail d’Orban.