D\u00eener l’autre soir chez le S\u00e9nateur C. et Madame. Comme toujours, ambiance chaleureuse et familiale qu’on ne trouve qu’avec les tr\u00e8s vieux amis.
\nComme d’habitude aussi, le ma\u00eetre des lieux avait fait assaut de prodigalit\u00e9 en mati\u00e8re oenologique. Le Giscours 92 servait de pr\u00e9liminaires au Gruaud-Larose 1983. C’\u00e9tait la derni\u00e8re bouteille en cave de ce mill\u00e9sime. Le vin, et peut-\u00eatre l’ann\u00e9e, pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 d’Isabelle.
\nUn vrai r\u00e9gal, le bonheur absolu. La robe, le nez, l’attaque, la rondeur, la pl\u00e9nitude, la longueur, tout se r\u00e9unit pour former l’harmonie parfaite.
\nIl doit me rester \u00e9galement quelques bouteilles de Gruaud, peut-\u00eatre une ou deux de 85. 20 ans, pr\u00eat \u00e0 boire. Th\u00e9oriquement encore mieux que le 83. Il faudra y venir avant l’\u00e9t\u00e9.
\nEn attendant, y penser. Apr\u00e8s, en parler, bien-s\u00fbr.<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"
D\u00eener l’autre soir chez le S\u00e9nateur C. et Madame. Comme toujours, ambiance chaleureuse et familiale qu’on ne trouve qu’avec les tr\u00e8s vieux amis. Comme d’habitude aussi, le ma\u00eetre des lieux avait fait assaut de prodigalit\u00e9 en mati\u00e8re oenologique. Le Giscours … Continuer la lecture