Paradoxe des paradoxes !
\nAyant pass\u00e9 une demi-journ\u00e9e \u00e0 ranger dans ma cave quelques 500 bouteilles encore en caisses, je n’en rapportai aucune, pr\u00e9f\u00e9rant laisser les \u00e9tiquettes valser dans mes r\u00eavasseries : j’avais \u00e9videmment oubli\u00e9 des Durfort-Vivens ; je d\u00e9couvrais avec un \u00e9merveillement un peu niais qu’il me restait une bouteille de Montrose 1982 ; mais comment stocker les bouteilles de vin jaune … ?<\/p>\n
sans oublier la sempiternelle question sans r\u00e9ponse : mais pourquoi donc, alors que l’usage fait que l’on ach\u00e8te les bouteilles par 6 ou par 12, les fabricants de racks de rangements les fabriquent ils avec des rangs de 5 bouteilles ?<\/p>\n
Bon, tout \u00e7a ne nous rafra\u00eechit pas le gosier, et qu’allions donc nous boire avec l’ami G\u00e9rard D. qui nous avait annonc\u00e9 son passage ?<\/p>\n
Peu connaisseur de vins italiens (avec une petite tendresse cependant pour l’Aglianico), je me laissais guider par la tr\u00e8s conviviale g\u00e9rante de la boutique Idea Vino. Ah, quel plaisir de retrouver le bonheur du n\u00e9ophite, en se laissant submerger par les noms de c\u00e9pages et de r\u00e9gions inconnues.<\/p>\n
Ressorti de la boutique avec une bouteille de Costamolino 2003, un Vermentino de Sardaigne de la maison Argiolas. Grand scepticisme d’abord, et puis, d\u00e8s l’ouverture, sur des charcuteries, un nez d\u00e9licatement fum\u00e9 – rien \u00e0 voir avec l’ar\u00f4me tisann\u00e9 des Chardonnay “american way” -, et puis une premi\u00e8re approche l\u00e9g\u00e8rement piquante. Faut il boire ce vin un tout petit peu plus vieux ? myst\u00e8re : il a son charme et sa fraicheur tel quel. Derri\u00e8re, assez long en bouche, fruit\u00e9. Un vrai bon moment.<\/p>\n
A y revenir.<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"
un excellent Vermentino de Sardaigne Continuer la lecture